Petite histoire Par Nicolas Montard | 20 août 2018
Cinquième épisode de notre série sur l’histoire de notre littoral. Au début du dix-neuvième siècle, Boulogne-sur-Mer est le centre de toutes les attentions, au point d’être considérée comme une petite capitale du pays. Napoléon s’en sert de camp de base pour envahir l’Angleterre.
La colonne de la Grande Armée domine le Boulonnais. Symbole des ambitions de Napoléon. Photo : DailyNord.fr
En ce moment, à Boulogne-sur-Mer, ça phosphore. Pourquoi ne pas créer une sorte de Napoléon Tour , s’interrogent en substance les édiles dans La Voix du Nord locale. Et pourquoi pas carrément un musée autour de l’Empereur ? En attendant, cet été, la ville portuaire accueille déjà une exposition autour de Napoléon à l’hôtel Desandrouin. Y sont présentés un sabre d’honneur remis par Bonaparte, une paire de pistolets, un insigne porté par l’illustre mais également divers documents…
Si Napoléon apportait autant d’importance à Boulogne-sur-Mer, c’est que l’empereur accordait beaucoup d’intérêt à la cité. Elle devait lui servir de camp de base pour envahir l’Angleterre et venger des siècles d’humiliation, disait-il.
Les hostilités entre France et Angleterre ont redémarré en 1803, lorsque nos voisins décidèrent de rompre la paix d’Amiens signée treize mois auparavant.
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On ne remerciera jamais assez les Anglais et Wellington de nous avoir debarassés de ce dictateur qui avait ensanglanté tous les pays d’Europe pour satisfaire ses ambitions démentes .
Mais cet article révèle surtout les idées fausses des elus locaux incapables d’organiser l’avenir et qui comptent sur les fadaises des paillettes imperiales pour depenser encore et toujours pour le souvenir de ce dictateur. Qu’ils aillent donc en autriche pour constater l’etendue de la resistance paysanne aux sbires de la Grande Armée qui raflait les ados dans les campagnes pour les envoyer mourir en russie. Qui sait que des 500 000 ++ soldats envoyés en Russie, seuls 6000 en sont revenus et dans quel etat ?