Les 3 Suisses, le Chouchou, ça vous dit quelque chose ? Oui, forcément. Gentillet, mais un peu dépassé. Faut croire que le géant roubaisien de la VAD a décidé de rafraîchir son image avec une campagne lancée il y a quinze jours. A coups de placards publicitaires (23 000 en France) et de slogans chocs. Rien de tel pour faire parler de soi et pour se démarquer dans un univers pollué de pubs. Et si il y a une petite référence au cul, c’est tant mieux.
[singlepic id=1115 w=320 h=240 float=left]Parmi les slogans pondus par les géniaux publicitaires pour le VADiste, « Liberté, égalité, mode pour tous ». Passe encore, on demeure dans le soft. Un peu mieux : « Pas besoin d’être PDG pour avoir une p….. de garde robe ». Ah, déjà cela interpelle davantage. Mais c’est surtout celui-ci qui semble ne pas faire l’unanimité (lire notamment l’article de Rue 89) : « notre point G, il est dans la penderie ». Ah bon ? Pourtant voilà quelques semaines, on apprenait que ce fameux point G n’existait pas et relevait du pur fantasme. Vrai de vrai.
Des chercheurs britanniques qui sans doute devaient s’emmerder copieusement, se sont penchés sur l’existence de cette zone érogène en suivant 900 couples de jumelles. Histoire de voir si ces copies génétiques conformes partageaient les mêmes zones de plaisir. Résultat de l’expérience ? Les jumelles ont des réponses différentes et le point G demeure donc une idée subjective. Oui, subjective Mesdames. Dieu merci, le Chouchou vient contredire nos brillants chercheurs. Et mieux encore, il lève le voile sur cet hypothétique sésame du plaisir : plus besoin de se fatiguer à le débusquer puisqu’il ne tient qu’à un vulgaire morceau de tissu…
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ça rappelle cette phrase de ce grand penseur contemporain, s. Berlusconi : « J’ai découvert que le point G des femmes, c’est la dernière lettre du mot shopping. »
Mais que fait Isabelle Alonzo ? Elle dort ?
Bon, hé bien pendant qu’elle ronfle aux côtés d’Elisabeth Badinter qui s’est offert un double shoot verveine-chiffres et des lettres, j’en profite sournoisement pour vous révéler le point G de Martine Aubry. Il est dans Ségolène…
Depuis quand est-ce que ces deux féministes sont supposées réagir fissa à la moindre pub ringardo-sexiste ?
Le point G c’est comme l’Arlésienne.